Fin du voyage

On prend notre vol sans problème le lendemain, on voyageait avec la compagnie Qatar airways, qui a été élue en 2011 et 2012 meilleure compagnie aérienne du monde, j'ai été ravie de cette compagnie, on a un peu plus de place pour les jambes, il y a un large choix de films, seul bémol, sur le vol retour Kuala Lumpur-Doha, une hotesse a renversé un plat de riz dans l'allée et personne n'a ramassé la nourriture au sol, tout le monde marchait dedans...
Le vol jusqu’à Doha n’est vraiment pas plein, il y a beaucoup de sièges vides. A Doha, on sort quelques secondes, passant cette fois en plein milieu de la journée de la fraicheur de la clim de l'avion à celle du bus... La vue depuis l'avion de Doha est assez surprenante : il y a des gros buildings et des toutes petites maisons d'un étage qui semblent faites en sable. Le vol jusqu’à Paris se passe bien, mais on arrive vraiment fatigués.

L'aéroport de Kuala Lumpur est bien agréable, il y a plusieurs "puits" de végétation où on voit une foret dense.

Puits de végétation, aéroport international de Kuala Lumpur

C’était vraiment un beau voyage, c'est passé très vite, on a fait un tour de la Malaisie péninsulaire, on y a parcouru plus de 2000km en bus, train, taxi et bateau ! On a vu deux grandes villes modernes bien différentes, des iles paradisiaques, des montagnes recouvertes d’une foret dense, une faune et une flore intéressantes, des paysages exceptionnels, une cuisine, une architecture et des ambiances variées issues d’une triple culture (musulmane, chinoise et indienne), on a finalement trouvé avec grand plaisir les sourires au fin fond de la Malaisie. On a été surpris de voir un pays en mutation (Kuala Lumpur qui croit, avec énormément de chantier de building en cours, la ville n’existait pas il y a 200 ans… et le désastre écologique de la foret primaire qui est rasée et dont les collines sont nivelées au profit de la culture du palmier à huile…).

La Malaisie est un pays bien différent de la Thailande, beaucoup plus moderne, plus riche, mais dont les habitants sont plus refermés que les thaïlandais sauf dans les coins reculés et sans tourisme.